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 Angélique Quigley

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Angélique Quigley

Serpentard - 6ème année
Angélique Quigley



Votre personnage
...est un: cas social aggravé
...a: 16 sacrifices de chats sur l’autel du Calmar Géant à son actif
...a ou n'a pas d'affinités avec:
Angélique Quigley _
MessageSujet: Angélique Quigley   Angélique Quigley EmptyVen 6 Aoû 2010 - 18:12

"Veuillez décliner votre identité..."


Nom : Quigley

Prénom : Angélique

Date de naissance : 27/07/1959

Année : 6ème année

Maison : Serpentard

Poste : Elève

Description Physique (Alexis Bledel) : A quoi ressemble Angélique ? A un ange, sans blague ? Si au tout premier abord, elle semble pâle et inoffensive avec son air délicat de poupée russe déglinguée il n’en est rien. Son visage fin et enfantin n’aurait su laisser transparaître la nature de son caractère totalement opposée. Sa peau pâle et diaphane lui donne un air presque maladif. Et ses yeux d’un bleu profondément foncé donnent un contraste étrange. Tandis que ses petites fossettes lui donnent l’innocence qu’elle n’a pas, de ses lèvres fines n’en sort que du mépris pour l’humanité entière peut-être, ou du moins pour tous ceux qui l’ont déçu tout au long de son existence. Sa petite et fine taille renforce inévitablement cette fausse fragilité qui est sienne.
Angélique est de ces personnes qui ne sourit jamais sincèrement étant incapable de sincérité. Elle a une palme de sourires à son actif : le sourire railleur, leu sourire méprisant, le sourire sarcastique, le sou… passons. Elle arbore toujours un de ces airs qui soit vous insupportent, soit vous font froid dans le dos, ou soit vous indiffèrent. Jamais elle ne laisse transparaître sur son visage un quelconque sentiment mièvre. Car s’il y a bien une chose que Miss Quigley ne peut supporter, c’était bien la niaiserie sous toutes ses formes. Quant à ses goûts vestimentaires, ils n’ont rien de particulier en soi, d’autant plus qu’ils n’ont que de peu d’importance sachant que tous les élèves portent des uniformes. Mais superficialité de fille exige, elle évite les couleurs sombres pour éviter d'avoir l'air de sortir d'un enterrement, ce qui n'est pas sans déplaire à son jumeau qui abhorre toute vision colorée de la vie.

"Dites moi tout"


Votre petite enfance : Il fut un jour de juillet parfaitement beau et chaleureux, où régnait joie et bonne humeur dans une petite chambre du service de maternité du Winchester Hospital. On avait annoncé l’arrivée de deux petits être vivants parfaitement similaires, si ce n’est au niveau de leurs parties intimes. La jeune femme usée et fatiguée, regardait depuis son lit les deux petits bambins, l’un bercée par l’infirmière présente et l’autre cajolé par son mari ébloui par le spectacle de la vie. Les yeux encore fermés, les deux canailles dormaient à points fermés. Leur mère de toute évidence, leva un visage radieux vers son compagnon qui arborait le même air béat. Ils ne se rendaient visiblement pas compte des jours exténuants qu’ils vivraient. L’infirmière leur demanda avec un grand sourire du genre « j’ai pas de gosses, mais j’trouve ça magnifique… » leur demanda les noms de ces deux futurs citoyens pratiquement chauves pour le moment. « Angélique » avait annoncé le père. « Et Tom » avait rajouté la mère. Pour l’anecdote, ils avaient pour l’aînée choisi le prénom de son arrière arrière grand-mère maternelle dont les origines avaient été françaises. C’était ça ou l’arrière arrière grande tante paternelle dénommée Hildegarde. Mais ils ne s’étaient pas encore rendus compte à quel point les anglais pouvaient avoir des difficultés sur le prénom pourtant, ô combien, joli de leur ange. Quant au cadet… eh bien, il faut bien l’avouer… Tom ça fait moins con que Thomas.

Les premiers jours de l’enfance de jumeaux s’étaient déroulés de façon tout à fait normale, dans une maison tout à fait normale, dans une famille tout à fait normale et pour tout dire dans un monde tout à fait normal. Que de normalité dans leur vie. Entre les pleurs à quatre heures du matin, le popo en plein milieu de l’après-midi, les biberons de lait conservateur à toute heure de la journée, Mr et Mrs Quigley étaient tout à fait charmés par leur nouvelle vie de parents. Et leurs enfants ne montraient à leur grande joie pas de signes d’étrangeté comme l’enfant des voisins. (De toute façon, un bébé c’est un bébé…). Parce que s’il y avait bien quelque chose que Mr et Mrs Quigley n’aimaient point, c’était bien l’étrangeté en soi. Ils aimaient à se caser dans les rangs de la banalité avec leur petite pelouse bien tondue et arrosée ainsi que leur petite Ford gris métallisée tout à fait charmante. Tout ça pour dire que leurs bambins étaient charmants, et qu’ils l’étaient tout autant.

La première année se passa tout aussi bien pour les deux enfants. Premiers pas, crèche, enfin tout le tralala quoi. Rien de bien passionnant qui mérite d’être annoté ici. Toutefois, dès la maternelle, on put noter quelques différences d’attitude. Si au cours de la crèche, ils avaient été trop jeunes pour faire l’objet d’un ostracisme, ce n’était dès lors plus le cas. Dès la petite section, ils avaient montré un caractère étrangement calme pour des bambins de leur âge. Leur similitude était d’une certaine façon, légèrement inquiétante. Etant encore jeunes, on ne pouvait distinguer leurs traits. Seule la longueur des cheveux d’Angélique permettait de les différencier. Inséparables, ils restaient à chaque instant ensemble et ne se séparaient que… pour leurs petits besoins personnels. Cette attitude déconcertante pour leurs petits camarades leur valut d’être exclus des jeux d’enfants. Non troublés le moins du monde et loin de chercher la compagnie des autres, ils semblaient éperdument loin de ce monde qui aurait pourtant dû être le leur.

Dès lors de leur seconde année à l’école maternelle de Winchester, leur comportement social loin de s’arranger, s’endetta de phénomènes étranges qui leur valurent définitivement d’être rejetés par leurs comparses. Mr et Mrs Quigley regardaient désormais leurs enfants d’un œil légèrement inquiet. Ils ne comprenaient pas cet ostracisme et tous ces petits incidents qui tournaient autour des deux jeunes Quigley qui pourtant n’avaient rien de tellement étrange dans leur caractère. Il n’y avait rien d’exceptionnel à être extrêmement lié à la personne qui a partagé avec vous l’étape de la naissance. Tout comme il n’y avait rien d’étrange à être moins turbulent que la moyenne. Ils n’étaient pas les seuls après tout. Et on n’allait pas reprocher à des enfants de ne pas être assez turbulents. Mais les années n’arrangèrent rien à l’étrange tension régnant autour d’eux. Rares étaient les enfants qui ne les évitaient pas. Les parents ne voulaient pas voir leur progéniture approcher « ces deux canailles » disaient-il bien que ces deux derniers soient pourtant l’exemple même de la sagesse. Tout au long de leurs années à la petite école maternelle, on n’avait eu de leur part ni bêtises, ni comportement turbulent. Pas une seule fois ils n’avaient été réprimandés. Et malgré tous les incidents mystérieux autour d’eux, jamais ils n’avaient été pris pour coupables. Après tout, était-ce de leur faute si le chien de Mr Cropper (le concierge) s’était retrouvé coincé tout en haut du grand chêne de la cours juste le lendemain après que ce dernier ait déchiqueté le sac d’Angélique ?

Ce fut lorsqu’ils arrivèrent à l’école primaire qu’un second changement s’opéra. Tout d’abord au niveau de la fillette. Angélique, du haut de ses six printemps, découvrit pour la première fois la signification de la mesquinerie. Stacey qui avait cassé sa poupée. Stacey qui avait déchiré ses cahiers. Stacey qui avait renversé du jus d’orange sur sa jolie robe. Stacey qui avait donné son cartable aux garçons. Stacey qui lui avait volé son goûter… « M'énerve. » Avait-elle dit à son autre moitié. « Qui ? » Avait-il répondu. Le lendemain, on avait retrouvé la peluche de Stacey en feu, sa poupée avait été rasée puis décapitée, sa robe préférée déchiquetée sans raison valable et son cartable gisait dans le lac du parc, becqueté par les cygnes du coin. Et on avait supposé que tout cela avait été un accident. Car il n’en aurait pas pu être autrement.

Leurs années de primaire se déroulèrent assez similairement à la maternelle. Ils étaient toujours autant ostracisés. Les autres enfants les regardaient avec un mélange d’inquiétude et de ressentiment. Comme s’ils étaient d’un autre monde qu’ils ne voulaient pas connaître. Les années renforçant plus leur lien fraternel, ils virent leurs parents s’inquiéter de plus en plus à leur sujet. Angélique n’avait jamais compris le désir de ses parents de la voir elle et son frère se ranger dans le « chemin de la normalité ». Pourquoi se contenter de la banalité après tout ? Suivre les moutons n’avait rien de très attrayant. Ce fut donc dans cette direction qu’elle développa sa vision de voir le monde. Elle n’avait pas à se conformer au regard des autres. Mais pourquoi ces ‘autres’ ne se conformeraient-ils plutôt pas à son propre regard ? En grandissant, elle se rendit rapidement compte qu’il y avait les moutons, mais qu’il y avait aussi les bergers. Et Miss Quigley ne serait au grand jamais un mouton. Elle ne pouvait être qu’un berger… ou alors au moins un mouton noir. Dès lors qu’elle se rendit compte à quel point elle ne voulait pas être un mouton, son changement d’attitude fut assez conséquent. Désobéissance à la gentille institutrice mièvre (qui éclatait en sanglots dès que ses élèves avaient le malheur de faire une bêtise), crise de colère, actions non considérées… blablabla… tel fut rempli son dossier d’élève qui jusque là n’avait subi aucune tâche. Du statut d’enfant sage comme une image à celui de perturbateurs de première, les jumeaux Quigley furent rapidement un enfer pour leurs camarades aussi bien que pour leurs enseignants. Parce qu’il semblait bien que Tom ait lui aussi subi le brusque changement d’attitude de sa sœur. Quels en étaient donc les motifs ? S’était-il rendu compte que lui aussi voulait être un berger ? Angélique n’en avait strictement aucune idée et n’aurait su formuler correctement la question à son frère. Mais elle avait juste été ravie de voir quelqu’un la comprendre parmi ce monde de crétins qui se prenaient tous pour des incompris alors qu’il n’y avait qu’une leçon à en tirer : mouton ou pas mouton ?

Mr et Mrs Quigley avaient alors envoyé leurs deux garnements en consultation auprès de nombreux spécialistes de la pédagogie : nombreuses consultations chez les psychologues en perspective. Et étrangement en revenant desdites consultations… il s’avérait que ces fameux spécialistes démissionnèrent tous les uns après les autres au plus grand dépit de Mr et Mrs Quigley. Bien que l’on n’eut pu dire que les jumeaux Quigley y soient pour quoi que ce soit, un léger doute subsistait néanmoins, aussi irrationnel cela eut-il été. Mr et Mrs Quigley renoncèrent donc à faire rentrer dans le moule leurs deux enfants. Ils se contentaient désormais de camoufler les ‘tares’ de ces deux derniers aux yeux de tous, préférant vivre dans l’illusion d’une famille modèle.

Ce fut avec tout de même un grand soulagement que les instituteurs de l’école primaire virent partir les jumeaux Quigley lorsque le temps fut venu. Les deux enfants échappèrent d’ailleurs de très près au pensionnant spécialisé dans les cas difficiles. La lettre qui devait enfin leur ouvrir la porte d’un nouveau monde arriva peu de temps après leurs onze ans. Ce ne fut pas sans curiosité qu’ils virent arrivés le petit volatile replet déposant devant la porte de leur maison deux enveloppes parcheminées bien gonflées. Mr et Mrs Quigley crurent tout d’abord à un canular. Ce n’était pas tous les jours que vos enfants recevaient une lettre venant d’une prétendue école de sorcellerie. Il leur fallut alors voir de leurs propres yeux arriver les représentants de l’école par la cheminée pour commencer à douter de la logique du monde qui les entourait. Si tout d’abord ils restèrent incrédules devant cette situation assez cocasse il faut bien l’admettre, Mr et Mrs Quigley se rendirent rapidement compte de toutes les conséquences que cela engendrait. Leurs petits chérubins ne seraient plus jamais vus de la même manière si la nouvelle se répandait. « Ca se soigne ? » avait alors demander Mrs Quigley à la plus grande horreur de ses enfants. Ainsi s’en étaient suivies de longues disputes durant des jours avant d’en arriver à la conclusion : personne ne devait savoir. Il fut décidé que les jumeaux Quigley seraient effectivement envoyés dans cette école de sorcellerie tout en faisant croire à leur entourage qu’ils partaient pour un pensionnat français. Angélique trouva là enfin prétexte à l’exclusion qu’ils avaient subie depuis toujours. Après tout, ils n’étaient pas comme les autres. Du moins pas comme les moldus. Ils trouveraient enfin leur vraie place, s’était-elle dit. Elle ne savait pas à quel point elle avait faux.

Vos années à Poudlard : Poudlard était un endroit qu’elle avait trouvé fantastique à première vue. Après tout, c’était on ne peut plus vrai. Ce lieu-là était… magique. Une nouvelle ère commençait dans leur courte vie. La cérémonie de répartition, marquant leur entrée dans le monde magique, ils ne comprirent pas immédiatement les regards intrigués de tous quand le vieux Choixpeau rabougri les envoya à la maison des serpents. Après tout, qu’y avait-il de si exceptionnel ? Serpentard était une maison comme une autre. Mais avait-on déjà vu des enfants complètement issus de moldus atterrir dans la maison de Salazar ? Peut-être bien quelques exceptions tout de même en une dizaine de décennies. Mais deux d’un coup ? Et Poudlard ne fut finalement qu’un lieu de plus sur Terre où l’on les regardait de travers. De par leur origine moldue, ils n’étaient disons pas spécialement bien acceptés par leur comparses de Serpentard. Tandis que leur caractère exécrable (typique de Serpentard notons-le) et leur appartenance à cette maison ne leur permettait pas non plus de réellement se rapprocher des autres élèves. Ce fut donc encore dans une exclusion totale qu’ils vécurent leurs années à Poudlard. Angélique s’en était depuis longtemps accoutumée. Mais cela n’avait en rien arrangé son caractère déjà peu commode.

Ainsi fut marquée sa scolarité à Poudlard. Et c’est maintenant en 1975 que les jumeaux Quigley entament leur 6ème année…


"Alors comme ça tu aimes les choux de Bruxelle?"


Caractère : Angélique… eh bien, elle ne portait pas vraiment bien son nom pour tout dire. Peut-être aurait-il mieux valu l’appeler Hildegarde ? Ou peut-être pas. Toujours est-il que la jeune fille n’avait décidément rien d’angélique. Et c’était sans doute une des principales raisons pour lesquelles elle était assez peut entourée. Parce qu’aussi exclue soit-elle, dès lors qu’on rentrait dans son cercle, on ne pouvait s’empêcher de se sentir comme hypnotisé par un serpent qui tenait sa proie. Le serpent était d’une certaine manière un être fascinant mais tout aussi répulsif. Elle n’avait de scrupules que pour sa propre personne et n’avait dès lors jamais laissé quiconque l’approcher réellement. Un masque froid. Voilà ce qu’on aurait pu dire d’elle. Elle ressemblait en tout point à ces êtres extrêmement détestables qui ne communiquaient que par de multiples railleries et méprisaient à peu près la planète entière. Rien de nouveau. Etant à Serpentard, elle aurait donc pu s’entendre avec énormément de monde de son genre. Du moins, si elle n’avait pas été originaire d’une famille de moldus.

La jeune fille n’avait pas toujours été telle quelle. Enfin peut-être que si… Mais disons qu’elle avait au moins eu le mérite d’être une petite fille exemplaire avant de devenir la peste qu’elle était. Elle était tout d’abord passée par le statut d’être complètement indifférent à ceux qui l’entourent avant de passer à glaçon par excellence. Elle en était depuis quelques années à « j’me montre horripilante au possible et totalement misanthrope ». Après tout, la vie était tellement ennuyeuse. Alors pourquoi ne pas la pimenter un peu ? Quand les gens commandaient des marshmallows, Angélique réclamait de la moutarde. Elle n’était pas spécialement encline à propager pagaille et misère néanmoins (elle préférait laisser ce rôle à son frère). Mais le malheur des autres faisait le bonheur des uns. Elle n’allait pas non plus aider la vieille retraitée à traverser la grande route, vous voyez ? Pourquoi réparer un toit cassé : autant le démolir.

De plus, loin d’avoir sa langue dans sa poche, elle ne retenait pas ses propos méprisants ni ne retenait ses crises de colère qu’elle laissait exploser à son gré. Car Miss Quigley était après une jeune fille délicate (hum) et facilement encline à se laisser emporter. Elle n’avait pas le flegme de son frère et avait donc régulièrement fini au coin au cours de ses années à l’école primaire. Et ce n’est certainement pas l’envie (de l’envoyer au coin) qui manquait à ses professeurs actuels… Furie ? Certes, certes. Mais c’était après tout là… euh… tout son charme. Charmant spectacle que de la voir s’enflammer contre quiconque aurait eu le malheur de la bousculer par inadvertance. Mais s’il y avait bien une personne qui pouvait l’empêcher d’entrer dans une colère noire, il s’agissait sans aucun doute de son jumeau. Contrairement à elle, il pouvait montrer un de ces calmes olympiens exaspérants rattrapant ainsi la ‘délicatesse’ de sa sœur. Oh, bien évidemment, elle ne montait pas immédiatement sur ses grands chevaux. De furie folle furieuse, elle pouvait tout aussi bien passer en mode poupée de porcelaine. Son calme à elle bien plus éphémère cependant, se traduisait généralement par un ennui profond et de fréquents soupirs. C’était là une de ses caractéristiques : le changement rapide d’humeur.

Bien qu’elle se montre la plupart du temps détestable et horripilante, Angélique était assez changeante. Son brin de manipulation lui permettait aussi bien de montrer tout à fait charmante et… angélique. Il n’y avait après tout rien qu’elle ne puisse faire. Et ne pas se montrer irritante était, certes difficilement, mais tout de même dans ses cordes. Parce qu’elle ne doutait nullement de ces capacités à simuler un faux caractère sociable. Ou plutôt, elle ne doutait pas du tout d’elle. Son orgueil bien que conséquent, vanité il n’y avait pas. Elle ne sentait pas dans l’obligation de prouver quoi que ce soit à qui que ce soit. Sa supériorité en tout point était d’une évidence. Elle était une bergère, et les gens des moutons. Et seuls les bergers et bergères méritaient réellement qu’on y fasse attention.

Passions & Hobbies & Intérêts & Autres : Angélique n'a aucune passion dans la vie, elle est tout sauf passionnée. Ses passe-temps favoris étant de contempler le plafond d'un regard fixe ou de regarder des combats de coqs.

"Plus t'feras quoi ?" : Elle n'envisage absolument pas son futur et n'a aucune envie de prendre part à la société.


A part ça, et vous?


Age ? 19
Où avez-vous connu le forum ? //
Autre chose à dire ? (double compte)
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http://squiby.net/user/Roselephantine
 

Angélique Quigley

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